Et si les hommes pouvaient vivre ensemble en paix ?

Et si les hommes pouvaient vivre ensemble en paix

Le monde est marqué par des actes de violence, de racisme, de terrorisme… Des conflits éclatent dans de nombreux pays, impactant directement la population locale. Il serait pourtant possible de parvenir à vivre en paix, tous ensemble, si tant est que certains principes soient appliqués par chacun. Explications.

Vivre ensemble en paix, une urgence mondiale

Intolérance, racisme, homophobie, extrémisme… Les actes de violence ne cessent de se multiplier à travers le monde et de prendre de l’ampleur. En outre, les dépenses militaires ont augmenté de manière inquiétante pour atteindre le record historique de 2 000 milliards de dollars pour l’année 2020.

Face à ce constat alarmant, les Nations Unies ont déclaré le 16 mai 2021 comme la « Journée internationale du vivre-ensemble en paix » afin de « mobiliser régulièrement les efforts de la communauté internationale en faveur de la paix, de la tolérance, de l’inclusion, de la compréhension et de la solidarité, et l’occasion pour tous d’exprimer le désir profond de vivre et d’agir ensemble, unis dans la différence et dans la diversité, en vue de bâtir un monde viable reposant sur la paix, la solidarité et l’harmonie ». Cet événement s’inscrit pleinement dans la Déclaration commune Mouvement de la Paix-Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP).

« Il nous faut apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons périr ensemble comme des imbéciles », Martin Luther King

Vivre en paix ensemble repose de profondes valeurs, à l’image de l’acceptation de la pluralité d’opinion, du respect mutuel, de la bienveillance, du refus de nuire ou encore de l’ouverture d’esprit et de la coopération.

Pour vivre ensemble, il est en effet primordial d’accepter les différences et de faire preuve de reconnaissance. La paix pourra être atteinte de manière individuelle mais aussi collective. Il est pour cela essentiel que des politiques sociales, économiques, culturelles et humanitaires soient mises en œuvre au niveau mondial afin que les droits humains soient respectés dans tous les pays. C’est la réalisation des droits humains, et non la puissance, qui peut instaurer une sécurité collective.

Il est à noter à ce sujet que de nombreux mouvements prônent la paix dans le monde, à l’instar de la Soka Gakkai qui repose sur le bouddhisme de Nichiren où l’on retrouve le « kosen rufu » qui se définit comme « la paix dans la société par le bonheur profond des individus ».

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